Bon allez, let’s face it. On a eu
un été pourri. Maintenant que le mois d’Aout touche à sa fin, on va avoir du
mal à continuer de dire que "ça va venir"*. C’est acté, 2014 aura été
une des pires années question météo. C’est un temps à se blottir sous la
couette pour regarder des séries me direz-vous. Et vous aurez raison. Mais du
coup, tant qu’à chercher l’évasion, il est bon d’éviter quelques-unes d’entre
elles. Voilà un petit florilège des séries dans lesquelles il fait vraiment un
temps de chiottes et qui sont donc à éviter si on veut oublier qu’il pleut et
qu’il fait 15°C dehors.
Article sponsorisé par Catherine
Laborde (ou Dhéliat, c’est selon).
Lost : Ok, quand on pense à Lost, on pense surtout au soleil, à la
plage, aux héros quasi-dénudés sur fond de sable fin. C’est vrai. Et ça fait
rêver. Mais il ne faut pas oublier que Lost
se déroule sous les tropiques. Et qui dit tropique, dit pluies tropicales. Et
là on ne parle pas du petit crachin breton. On parle de celles qui ne
préviennent pas, celles qui mouillent vraiment et qui rendent tous les t-shirts
transparents. De celles qui font de la jungle un endroit bien hostile, mais qui
donne un putain de cachet à la série (surtout quand il s’agit de tendre des
pièges à Ethan au cœur de la forêt – s1e15).
Game of
Thrones : là, on ne pourra pas nous dire qu’on ne nous aura pas prévenus. Ils
répètent tous à tout bout de champ que le winter is coming. Alors à King’s
Landing, c’est encore une notion un peu abstraite. Mais à Winterfell (ça ne
s’invente pas), c’est déjà beaucoup plus concret. Et alors prêt du Mur, je vous
dis pas. On s’y gèle carrément les meules. Y a qu’à voir la demi-douzaine de
peaux de bêtes que Jon Snow (ça non plus, ça ne s’invente pas) s’envoie sur les
épaules pour survivre. C’est l’association PETA qui doit être contente…
Engrenages : les flics parisiens n’ont pas
beaucoup plus de chance que la Garde de Nuit. Alors oui, bosser dans une des
plus jolies villes du monde, ça n’a pas de prix, mais ça a un coût. Faut les
payer les doudounes de Laure Berthaud, les imperméables de maitre Clément ou du
juge Roban et tout le fourbi nécessaire pour que ces messieurs-dames ne meurent
pas gelés pendant leurs planques ou leurs enquêtes sur des lieux du crime.
Remarque, la série suit sa ligne éditoriale réaliste jusqu’au bout : vivre
à Paris, c’est vivre avec la pluie.
Urgences : vivre à Chicago, en revanche,
c’est vivre avec la neige et des conditions météorologiques désastreuses.
Combien de fois on a vu les infirmières et les médecins débarquer au petit
matin, totalement frigorifiés et recouverts de neige, dans le hall du Cook
County ? La preuve - s’il en fallait - qu’il y fait un temps pourri, c’est
que parmi les épisodes les plus marquants des premières saisons, on se souvient
du gigantesque carambolage sur une autoroute à cause de conditions de
circulation toutes pouraves (s1e10). On se souvient également d’un combat du Dr
Ross contre les éléments pour sauver un enfant des pluies diluviennes qui
s’abattent sur la ville (s2e7). Sympa.
X-Files : il est possible que Mulder et
Scully soient les agents du FBI les plus poissards de la planète. Où qu’ils
aillent aux Etats-Unis, il fait un temps de merde. Et pourtant ils en ont vu du
pays. Mais globalement, en règle générale, dès qu’ils se pointent quelque part,
il pleut. Et parfois même il pleut des grenouilles, c’est dire (s2e14). Pour
eux aussi, l’imperméable et le parapluie font partie de l’uniforme. Bon en
vrai, la raison de cette guigne météorologique, c’est que pendant ses premières
saisons, la série fut tournée à Vancouver, ville peu réputée pour son climat
chaleureux.
The
Killing : en termes de temps de chiottes, on détient là la grande championne. Haut
la main. C’est bien simple, il pleut TOUT LE TEMPS dans The Killing. Le vrai bon gros temps de merde ; de ceux qui
font passer l’Ecosse pour un pays ensoleillé. Située à Seattle, la série ne
donne pas méga envie d’aller trainer ses guêtres dans le coin. Les gros pulls
en laine de Linden et les hoodies bien épais de Holder n’arrangent rien. Mais
en vrai, ce déluge incessant donne tout son charme et toute son identité à la
série. Rarement la pluie n’aura été aussi bien filmée et aussi joliment mise en
valeur.
Comme quoi, faut qu’on arrête de
se plaindre. Oui, il a fait moche pendant tout l’été, mais ça inspirera
peut-être d’autres scénaristes à écrire des histoires aussi réussies que celles
citées ci-dessus. Alors vive les dépressions et les chutes du mercure !
*Je ne sais pas si c’est juste
pour m’embêter, mais au moment où je publie cet article, le temps a vraiment
l’air de vouloir s’arranger… Elle m’aura fait chier jusqu’au bout, cette météo.
Y avait eu Lookingau mois de Janvier. Et depuis,
plus rien. Mais là, ça y est, je le tiens mon nouveau coup de cœur. Et pour le
coup, c’est pas des blagues : Orange
is The New Black est vraiment un énorme énorme kiff ! Bon je m’y prends
un an après tout le monde, mais mieux vaut tard que jamais. Lancée l’année
dernière sur Netflix, la fameuse webchannel à l’origine de House of Cards
notamment, OITNB a pourtant connu un succès assez immédiat. Le buzz
entourant la sortie de la saison 2 début juin 2014 m’a finalement convaincu de
rattraper mon retard. Et je n’ai vraiment pas été déçu. Attention, cette fois,
I mean it. For real. Orange is the New
Black est une grosse grosse balle atomique ! Pour preuve, ce petit
bilan de chacune des deux saisons (sans spoilers) :
Saison 1 :
Orange is
The New Black est une série inspirée d’une
histoire vraie : on y suit les 15 mois d’incarcération de Piper Chapman,
une jeune trentenaire, wasp, récemment fiancée à Larry (Jason "American
Pie" Biggs). En effet, une dizaine d’année auparavant, Piper avait servi
de mule au sein d’un réseau de trafiquants de drogue, mené entre autre par son
amoureuse de l’époque, Alex Vause (la géniale Laura Prepon ; j’y
reviendrai). Obligée de cohabiter avec des femmes qu’elle ne connait pas, dans
un environnement dont elle ignore toutes les règles, Piper voit sa situation
empirer lorsqu’elle s’aperçoit qu’elle est emprisonnée aux côtés d’Alex, qui
l’a balancée à la justice et qui est donc responsable de son incarcération.
C’est là le point de départ d’une grande série chorale. Car
même si elle reste centrée sur Chapman (comme ses codétenues l’appellent), OITNB
offre une galerie impressionnante de personnages, tous aussi riches les uns que
les autres. Un des atouts majeurs de la série est de réussir à faire avancer de
front plus de 30 personnages, sans qu’aucun ne soit ennuyeux et sans que le
spectateur ne soit perdu une seule seconde.
Les détenues se dévoilent petit à petit, au sein de la
prison mais également au cours de flashbacks nous faisant découvrir le passé de
chacun des personnages. Claudette, Crazy Eyes, Taystee, Red, Morello, Sophia,
Big Boo, Pennsatucky… Impossible pour moi de designer mes
préférés tant l’alchimie est réussie. Même les personnages masculins, forcément
moins nombreux et peut-être un peu moins bien servis, séduisent et
passionnent.
Amenées intelligemment les unes après les autres, les
nombreuses storylines s’emmêlent avec fluidité et limpidité. Les thèmes abordés
sont variés et traités avec énormément de finesse : le communautarisme, la
justice, l’homosexualité, le respect de la dignité, le racisme, le fanatisme
religieux… Des sujets souvent lourds, abordés frontalement, mais jamais de
façon glauque. OITNB est tour à tour drôle, triste, émouvante. Parfois
violente (jamais visuellement), c’est malgré tout la première série carcérale
dans laquelle on se sent bien.
#TeamAlexVause
Coté casting, on frôle la perfection. Si Taylor Schilling
interprète Piper avec beaucoup de justesse, je dois avouer ici ma totale
fascination pour Laura Prepon, interprète d’Alex, vue précédemment dans That
70’s Show. J’ai rarement été envouté à ce point par le charisme d’une
actrice. J’adore absolument toutes les scènes dans lesquelles elle intervient.
Elle est magnétique. Ce qui est parfait pour la relation amour/haine qu’elle
entretient avec Piper.
En bref, une première saison avalée en quelques jours, un
univers délicieux, une pléiade de personnages fabuleux servis pas des
comédien(ne)s parfait(e)s. Un BIJOU !
Hâte de voir ce que la seconde saison pourrait donner.
Saison 2 (attention, spoilers possibles dans le trailer):
Je pensais écrire quelque semaines plus
tard mais non, seulement quelques jours plus tard, je reprends ma plume après
avoir avalé tout aussi rapidement la saison 2. Premier constat, la série ne
démérite pas. Bien au contraire, elle continue sur sa lancée en nous offrant
toujours plus de personnages, toujours plus d’histoires à découvrir.
Certaines détenues, ultra
secondaires en saison 1 prennent une ampleur inattendue, souvent grâce à des
flashbacks ingénieux, nous révélant un passé toujours très touchant. Je pense particulièrement
à Rosa ou à Black Cindy. D’autres font leur apparition, certaines de façon plus
réussie que d’autres. Vee est, à mon sens, bien plus intéressante que Soso. Mais
encore une fois, on ne sait pas grand-chose du passé de Soso, j’attends d’être
surpris en saison 3. Enfin, il faut reconnaitre la jolie importance que prend
petit à petit le personnel de la prison, que je trouve mieux servi que dans la
saison 1. Là encore, c’est quasiment une dizaine de personnages qu’on apprend à
connaitre un peu plus dans chaque épisode.
#TeamMorello, plus que jamais!!!
J’avais renoncé en saison 1 à
lister mes personnages préférés, mais je dois bien avouer que l’une d’elle
réalise un sans-faute absolu. Morello compte parmi les héroïnes les plus
réussies de la série. Il se pourrait même qu’il s’agisse du personnage le plus
mémorable, de par son originalité, son look ou la prestation totalement sidérante
de son interprète, Yael Stone. Chacune de ses scènes est absolument parfaite. C’est
du grand-art.
Puisqu’on en est à parler des
comédiennes, je dois également tirer mon chapeau à Uzo Aduba qui envoie sacrément du lourd avec son
interprétation de Suzanne "Crazy Eyes" Warren. Jouer les fous est
toujours un peu casse-gueule : ça peut vite devenir ridicule. Mais ici c’est
subtil, c’est toujours surprenant, c’est envoutant.
Enfin, et j’arrêterais là, la
relation entre Taystee et P. continue d’émouvoir et de faire sourire. Sacré duo
de personnages et sacrée alchimie de comédiennes.
Reste Chapman, notre héroïne. J’ai
parfois lu que le personnage agaçait, qu’il était le point faible de la série
et particulièrement de cette saison 2. Je ne suis pas d’accord du tout. Chapman
a juste fait son trou (c’est le cas de le dire) dans cette prison. Et hormis un
premier épisode très particulier (et très déroutant au début), elle se retrouve
assez justement mêlée à l’ensemble des détenues, sans autre traitement de
faveur que de voir son histoire personnelle en dehors des murs un peu plus
développée que les autres. Et en plus, elle a perdu son côté tombée du nid qui
la démarquait dans la saison 1. Chapman devient un peu badass et ça
lui va bien.
Allez, je vais être honnête, quelques
personnages n’ont pas totalement transformé l’essai. Cette seconde saison étant
plus axée sur les luttes inter-gangs, les personnages isolés comme Soso,
Pennsatucky ou Sophia (que j’aime pourtant vraiment beaucoup) ont plus du mal à
trouver leur place dans cette fourmilière. Mais attention, je n’ai pas dit que
je voulais m’en débarrasser ! Loin s’en faut !
Difficile pour moi de trouver d’autres
défauts à la série. Une telle qualité d’écriture et de jeu est véritablement
très rare à la télévision. L’année va être longue, mais le final de la saison 2,
si réussi, si jouissif (dur de croire qu’il dure 1h30 !), nous en promet
de belles pour la saison 3 sans nous laisser sur notre faim… C’est sûr, Orange is The New Black
is the new Six Feet Under / The Wire / The West Wing... (rayez la mention inutile).
Ça fait longtemps que je n’ai pas écrit sur ce blog. Mais il faut dire que les
beaux jours me donnent moyennement envie de m’enfermer pour regarder des séries
télé. Et quand je m’y résous (tu parles d’un calvaire), je m’attarde surtout à
rattraper mon retard sur l’excellente, que dis-je, la brillantissime Orange is the New Black – oui, je sais,
ce retard est inadmissible ! Ca fera sans aucun doute l’objet d’un futur
post (teasing…). Mais là, n’est pas le sujet.
L’autre
jour, en passant dans les rayons de la FNAC, je suis tombé sur le coffret de la
saison 8 de Dexter. Et
intérieurement, j’ai plaint les pauvres êtres qui n’avaient pas encore vu cette
fin ratée et qui allaient dépenser de l’argent pour être déçus… J’ai aussi
réalisé que je n’avais jamais craché ma bile sur cette série. Et du coup, ça me
titille. Je préfère prévenir, je vais spoiler. Et sévèrement en plus. C’est
moche, mais je n’ai pas beaucoup de respect pour ce final. Alors à tous les
acheteurs de DVDs, voilà une liste des 5 choses que vous ne verrez pas dans
cette ultime saison de ce qui fut, jadis, une belle série.
La
chute de Dexter : un peu sadiquement, c’est ce que j’attends depuis le
début de la série. J’ai pris beaucoup de plaisir à voir Dexter échapper aux
mains de la police dans les premières saisons, mais secrètement, j’avais envie
de voir ce personnage, pour le moins ambigu, face à la justice. J’avais donc
pensé que cette ultime saison verrait le secret de Dexter révélé au grand jour.
Ca aurait envoyé du steak pour le final. Mais non, il n’en est rien. Dexter
s’en sort encore, et avec les honneurs, en plus. Il a causé la perte de
beaucoup de proches autour de lui (à commencer par sa sœur) mais tout va bien
pour lui, si ce n’est qu’il devient bucheron (Au. Secours. Pire idée du monde).
Avec
ce choix de protéger son personnage principal jusqu’au bout, la série fait
l’apologie de la loi du talion. On n’est jamais mieux servi que par soi-même et
au final, on ne risque pas grand-chose. Jolie conclusion. Jolie morale.
La
chaine aurait refusé de voir un bad ending pour le personnage, soi-disant parce
que le public ne l’aurait pas supporté. En plus de nous prendre pour des
demeurés, ils sont passés à coté de ce qui aurait pu être une fin
coup-de-poing.
La
chute de Debra : là encore, autre exemple que finalement, on peut se faire
justice soi-même. Meilleur personnage de la série (et meilleure actrice aussi),
Debra est pourtant très malmenée dans cette dernière saison. Rappel des
faits : elle a tué La Guerta en fin de saison précédente. Enorme
retournement du personnage, qui aurait pu chambouler la fin de la série. Malgré
quelques scrupules (intéressants) en début de saison 8, elle passe assez
rapidement à autre chose, non sans avoir buté au passage un autre pauvre type qui
avait le malheur d’être dans le coin un jour où Debra était un peu en bad. La
personnalité du personnage est bafouée, sa morale aussi. Elle, qui luttait
entre son amour de la justice et son amour pour son frère, bascule du coté
obscur. Et on veut en plus nous faire croire que c’est cool.
Bah
non, c’est pas cool, c’est nul. Elle aurait pu balancer son frère, elle aurait
pu se rendre, elle aurait pu sombrer dans la folie, ou faire un truc de ouf
comme elle seule en est capable. Au lieu de ça, les scénaristes la sacrifient.
Dernier outrage à ce magnifique personnage, elle meurt connement, des mains
d’un type dont, avouons-le, on se fout éperdument (à l’heure qu’il est, je ne
sais même plus de qui il s’agit…). RIP Debra. Toi seule va me manquer.
La
thématique de la mère : la série a tout imaginé au fil des saisons :
elle a confronté Dexter à son frère (s.1), à Dieu (s.6), à un père (s.4), un
ami (s.3), une élève (s.5) et même à lui-même (sublime S.2). Le voir confronter
une figure maternelle en la personne du personnage de Charlotte Rampling aurait
donc pu être intéressant. Mais là encore, c’est totalement raté. On passe à
coté du potentiel de cette relation. Et Rampling se retrouve noyée au milieu
d’un Gloubi-boulga incompréhensible. A moitié concernée par la relation de
Debra et Dexter, bien plus préoccupée par cet ancien patient qui dépose des
bouts de cerveau sur son paillasson (ah mais oui, c’est lui le meurtrier de
Deb’ !), elle finit assassinée, dans l’indifférence la plus complète.
Quant à Dexter, qui semblait perturbé par l’arrivée de ce substitut de mère, ça
lui en touche une sans faire bouger l’autre.
La
thématique du fils : Dexter a un fils Harrison. Mais le petit bonhomme est
un poil jeune pour réellement avoir un impact sur son père. Disons que si Dexter
se pose de bonnes questions sur l’avenir de son fils tout au long des saisons,
la relation père-fils se fait un peu en sens unique. Du coup, les scénaristes
ont l’idée de lui mettre dans les pattes un adolescent au moins aussi perturbé
que lui. Là encore, ce qui aurait pu être une idée intéressante devient une
vaste blague pas drôle. Ca vire même à la parodie, dans les scènes ridicules du
"diner de famille" chez Rampling ou du retour de "vacances"
dans la voiture. Honteux. Gratuit. Et inutile puisque ce personnage meurt
aussi, bêtement.
Un
intérêt quelconque pour Quinn, Angel et Masuka : voilà bien trois
personnages maltraités (oubliés ?) dans cette fin de série. C’est bien
simple, ils ne servent à rien. En plus d’être les plus mauvais flics de l’univers
(combien d’affaires non résolues ont-ils sur les bras ?), ils restent
totalement étrangers à l’intrigue de cette fin de saison. La palme revient à
Masuka et à son histoire STUPIDE de nouvelle paternité. Expliquez-moi ce que ça
vient foutre ici ?!? Quant à Angel et Quinn, on aurait pu imaginer que les
scénaristes aient au moins le respect de leur faire découvrir le fin mot de
l’affaire. Mais non. Dindons de la farce jusqu’au bout.
Comme
quoi, c’est fou comme une série peut s’auto-insulter et décevoir son public.
J’ai été fan de Dexter dans les
premières saisons et j’ai même fait partie de ceux qui l’ont défendue
longtemps, quand les premiers signes de faiblesses ont commencé à apparaitre.
Mais cette saison 8 m’a rappelé à la réalité. Et le final m’a scandalisé. De
toutes les fins possibles, ils ont choisi la pire option possible. L’effet FX
sans doute… Dommage. Très dommage.