mercredi 30 novembre 2011

New (Hit) Girl

New Girl, c’est la nouvelle sitcom de la Fox ; c’est une feel-good série, c’est frais et ça fait du bien !

Voilà 5 raisons de s’y mettre rapidos : 

- Zooey Deschanel : Le simple fait qu’elle soit au générique d’une série mérite à lui seul de se ruer sur ladite série. Comme beaucoup, je l’ai découverte dans 500 jours ensemble (un petit bijou, soit dit-en passant). Déjà à ce moment,  rares sont les mecs qui sont restés insensibles à son charme. Mais là, en plus d’être charmante, elle est drôle, maladroite, touchante, et elle chante (faux) à tout bout de champ. Elle joue Jess, une fille un peu paumée, très perchée qui emménage un peu par hasard avec trois mecs qu’elle ne connait pas. Le concept de la série n’est pas ultra innovant mais la personnalité de Jess et le jeu de Deschanel transcendent le tout.

- Schmidt : Après Jess, c’est LE personnage de la série, selon moi. Très soucieux de son apparence, il assume son coté féminin comme personne et n’a aucun problème à se balader dans l’appartement en kimono de soie. Mais ne tombons pas dans le raccourci facile, Schmidt n’est pas homosexuel. Bien au contraire, il est le séducteur de l’appart’. Et Max Greenfield incarne parfaitement ce grand écart entre le métrosexuel apprêté et l’übersexuel dragueur.

- L’appartement : en plein New York, les 4 colocataires habitent un loft de malade ! Tout y est : les immenses fenêtres, les murs en briques, le salon démesuré, une chambre par habitant. Depuis l’appartement de Monica Geller, on n’avait plus vu un tel bien immobilier…  Mention spéciale à la salle de bain décorée façon art-déco, à base d’urinoirs, de murs en pavés de verre et de casiers métalliques.

- Le ton de la série : c’est très drôle, ça c’est dit. Mais c’est aussi très touchant. Et c’est là qu’ils sont forts, ces ‘ricains. En quelques épisodes seulement, ils arrivent à faire passer une réelle émotion entre ces personnages. Les quatre colocs sont extrêmement bienveillants les uns avec les autres. Et même si ça se vanne continuellement, il s’installe une véritable solidarité jamais mièvre, jamais dégoulinante de bons sentiments.

- Le générique : très home-made, il reflète bien la personnalité de Jess et l’influence qu’elle a sur ses trois collocs.


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